Jules Bastin, né le 18 août 1933 au hameau de Pont dans
l'ancienne commune de Bellevaux-Ligneuville, aujourd'hui rattachée à Malmedy,
et décédé le 2 décembre 1996 à Waterloo, est un chanteur lyrique belge.
Au sortir de ses études secondaires, Jules Bastin est
remarqué par Frédéric Anspach, lors d'un concert auquel il participe avec une
chorale et devient son élève, et étudie au Conservatoire de Bruxelles, où il
travaille sa voix, dont la tessiture est celle d'une basse. Il fait ses débuts
en 1960 au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles. Grand admirateur de Paul Robeson,
titulaire d'un premier prix des concours de Munich et de Bois-le-Duc, il a tout
d'abord été reconnu à Londres, en chantant sous la baguette du chef d'orchestre
Colin Davis et grâce aux enregistrements de partitions d'Hector Berlioz, qu'il
a réalisés.
Il est inhumé à Stavelot.
Retrouvons-le dans quelques airs bien connus du folklore
wallon.
- Dju vôreus bin hanter :
- Li p’tit banc :
- Léyiz’m
plorer :
- Adeste fideles :
- Bondjou wèzenne :
- Minuit, Chrétiens :
- Do timps
passé :
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